Décence ou fluidité, il faut choisir
Et ce fut la décence qui l'emporta.
J'ai donc doublé cette robe 123 du Burda d'août 2015, avec regret, car le tissu, une sorte de crêpe très léger en pur polyester, avait un très beau tombé. Mais je n'aurais jamais pu la porter telle quelle, à moins de la réserver à la plage... J'habite en région parisienne, tout est dit.
J'ai ôté les manches, creusé l'encolure, et la doublure fait office de parementure.
Le tissu frise le long de la couture dos, faite à la machine, les bords eux ont été cousus directement à la surjeteuse et n'ont pas ce problème.
J'aime beaucoup cette robe, et je pense la refaire avec les manches cet automne, si je trouve un tissu qui convient.
Mon tissu vient du marché, 2,50 € pour 1m50.
Il me rappelle l'effet moucheté obtenu sur les murs immaculés par mes fils se pourchassant dans la maison en brandissant des feutres fluos... ( c'était il y a 13 ans, il y a prescription, mais certaines taches ne sont jamais parties...)
Les palmiers pourraient induire en erreur, mais l'herbe bien verte le prouve: ces photos ont été prises en Bretagne...